Et un rien d’utopie

Photos de février 2019.
Nombril de Vénus,
balade au bord du Rhône,
balade parmi des animaux de toutes sortes,
Doris et Lou-Anne embauchées pour brûler les branches du noyer abattu,
leur tableau de land-art,
balade en vélo
avec halte restau à Crémieu
et halte lecture au retour
pour profiter du doux soleil,
le jardin qui redémarre…
Photos from February 2019.
Umbilicus rupestris,
stroll along the Rhône,
stroll among all kinds of animals,
Doris and Lou-Anne hired to burn the branches of the felled walnut tree,
their land-art painting,
bike ride
with a restaurant stop in Crémieu
and a reading stop on the way back
to enjoy the soft sun,
the garden is restarting …

 

Le principe d’un vaccin, c’est de développer notre immunité en nous injectant une maladie sous une forme atténuée (je simplifie un peu).  C’est une bonne idée. Ce qui la pervertit, c’est la notion de profit… Alors oui à un vaccin qui serait fabriqué et contrôlé au grand jour, accessible non pas à prix modique, mais au prix le plus bas possible que l’acheteur soit capable de payer : dans les pays on l’on se nourrit correctement pour deux euros par jour, il est hors de question que le prix soit le même que dans les pays où cette somme ne suffit même pas pour garer sa voiture. Soyons un peu utopiques : si tous les laboratoires de tous les pays travaillaient main dans la main, se signalaient instantanément les résultats de toutes leurs recherches, les effets secondaires, les réussites et les ratés, tout irait tellement plus vite !
The principle of a vaccine is to develop our immunity by injecting us with a disease in an attenuated form (I’m simplifying it a bit). It’s a good idea. What perverts it is the notion of profit … So yes to a vaccine that would be manufactured and controlled in the open, accessible not at low cost, but at the lowest possible price that the buyer is able to pay: in countries where you eat properly for two euros a day, it is out of the question that the price is the same as in countries where this amount is not even enough to park your car. Let’s be a bit utopian: if all laboratories in all countries worked hand in hand, instantly reporting the results of all their research, side effects, successes and failures, everything would go so much faster!

Non assistance à personnes en danger, ou crimes prémédités contre l’humanité ? Certains laboratoires licencient pour augmenter leurs bénéfices, au lieu de tourner à plein régime et de produire. Le profit étant sacré, les laboratoires refusent de céder leur brevet, c’est-à-dire de faire « tomber » les vaccins dans le domaine public pour que tous les pays puissent se lancer dans la fabrication, au lieu de mendier des doses… Combien de vies humaines cette attitude va-t-elle coûter ?
Failure to assist people in danger, or premeditated crimes against humanity? Some laboratories are laying off people to increase their profits, instead of running at full speed and producing. Profit being sacred, the laboratories refuse to assign their patent, that is to say to « drop » vaccines into the public domain so that all countries can start manufacturing, instead of begging for doses … How many human lives will this attitude cost?

J’imagine certains d’entre vous levant les bras au ciel, on n’a jamais vu ça, les labos qui renonceraient à leur profit, y penser est bien de la dernière stupidité ! Bien sûr, si nous ne rêvons pas, nos rêves ne se réaliseront pas.
I imagine some of you raising your arms in the sky, we’ve never seen that, the labs that would give up on their profit, to think about it is the last stupidity! Of course, if we don’t dream, our dreams won’t come true.

Dans son roman « la vengeance des mères » (fiction située dans un cadre historique), Jim Fergus précise que si recommençaient de nos jours les massacres d’Amérindiens perpétrés, parmi d’autres, lors de la ruée vers l’or, cela occasionnerait des poursuites devant la cour pénale internationale pour crime de guerre ou génocide. Pourquoi les laboratoires ne seraient-ils pas poursuivis un jour pour avoir fait passer des vies humaines après leurs bénéfices ?
In his novel « The Vengeance of Mothers » (fiction set in a historical setting), Jim Fergus specifies that if the massacres of Amerindians perpetrated, among others, during the gold rush, were to start again today, this would lead to prosecution before the international criminal court for war crimes or genocide. Why wouldn’t laboratories be prosecuted one day for putting human lives after their profits?

Je n’ai pas changé d’attitude à l’égard des vaccins, dont je me méfie terriblement. S’ils peuvent contribuer à la lutte contre le Covid-19, alors il faut les développer, mais pourrait-on aussi gérer cette guerre des laboratoires ? Les contraindre à la transparence, à la coopération, limiter leurs bénéfices ? Afin de réduire les accidents et de mettre ce médicament à la portée de tous.
I have not changed my attitude towards vaccines, which I am terribly suspicious of. If they can contribute to the fight against Covid-19, then we must develop them, but could we also manage this war of the laboratories? Force them to transparency, to cooperation, to limit their profits? In order to reduce accidents and make this drug available to everyone.

Il faut que tout se passe au grand jour… Utopie, utopie, quand tu nous tiens… Au lieu de cela, on s’est beaucoup méfié de la Chine et je crains fort que cette méfiance ait fait prendre un retard dramatique aux mesures anti-Covid – rappelez-vous, début 2020… Maintenant on se méfie du Sputnik et de la Russie dont les résultats annoncés seraient pourtant excellents… Propagande ? Bien sûr, si ça vient de Russie on pense tout de suite à de la propagande…
Everything must take place in broad daylight … Utopia, utopia, when you hold us … Instead, we were very wary of China and I am very afraid that this mistrust has caused a dramatic delay in anti-measures Covid – remember, early 2020… Now we are wary of Sputnik and Russia, whose announced results would be excellent… Propaganda? Of course, if it comes from Russia we immediately think of propaganda …

Alors que j’écris, Paul regarde une vidéo qui a déjà disparu de youtube, et qui dénonce, dit Paul, « pas de complot mondial, mais un lobbying phénoménal des labos et des voix dissidentes, sérieuses, qui ont du mal à se faire entendre. L’intéressant c’est que c’est la situation en Belgique qui est analysée. L’auteur est très clair : il ne s’agit pas de minimiser la gravité de l’épidémie, encore moins de la nier, mais d’essayer de comprendre comment fonctionnent les mécanismes de l’information mise en scène. »
As I write, Paul is watching a video that has already disappeared from youtube, and which denounces, Paul says, « no global conspiracy, but phenomenal lobbying from the labs and the dissenting, serious voices that are struggling to to be heard. The interesting thing is that it is the situation in Belgium that is analyzed. The author is very clear: it is not about downplaying the seriousness of the epidemic, let alone denying it, but trying to understand how the mechanisms of staged information work. »

Le lien sur Vimeo — The link on Vimeo

La solidarité ça existe pourtant. Séb m’a fait découvrir « les Castors ». « Après la seconde guerre mondiale, le manque de logements était criant. Des particuliers se sont alors regroupés pour construire ensemble leurs maisons. » Quand l’une était finie, on commençait la suivante. Certains ont même pratiqué le tirage au sort, une fois la maison construite, pour savoir à qui elle serait attribuée !
Solidarity does exist, however. Séb introduced me to « les Castors ». « After World War II, the housing shortage was dire. Individuals then came together to build their houses together. » When one was finished, they started the next. Some even practiced the draw, once the house was built, to find out to whom it would be attributed!

Leur histoire est d’autant plus intéressante que les auto-constructeurs, l’habitat partagé, et pourquoi pas la colocation, ça existe toujours. Après avoir arrêté presque toute activité quand l’état a fait construire de grands ensembles, les castors reviennent. Les techniques ont évolué, aujourd’hui par exemple on se préoccupe d’écologie, mais l’état d’esprit reste le même.
Their story is all the more interesting than the self-builders, the shared housing, and why not the roommate, it still exists. After almost all activity has ceased when the state has built large complexes, « les Castors » are returning. Techniques have evolved, today for example we are concerned with ecology, but the mindset remains the same.

Avant de s’intéresser aux tiny-houses, Lolo avait envisagé d’occuper un habitat participatif (= habitat groupé, habitat coopératif, habitat en autopromotion…). Dans le même temps, Nanath s’intéressait aux micro-maisons. Résultat, Lolo habite une tiny et Nanath est impliquée dans un projet d’habitat participatif, ils sont comme ça Lolo et Nanath, imprévisibles ! Et nous, avec notre grande maison (accueillante), nous éprouvons un vif intérêt pour tous ces projets où solidarité, partage, mutualisation des ressources, mixité sociale, écologie… ne sont pas de vains mots.
Before becoming interested in tiny-houses, Lolo had considered occupying participatory housing (= group housing, cooperative housing, self-promotion housing, etc.). At the same time, Nanath was interested in micro-houses. Result, Lolo lives in a tiny and Nanath is involved in a participatory housing project, they are like that Lolo and Nanath, unpredictable! And we, with our large (welcoming) house, have a keen interest in all these projects where solidarity, sharing, pooling of resources, social mix, ecology… are not empty words.

Cette démarche implique les futurs habitants dans le projet, l’auto-construction est fréquente.
This approach involves the future inhabitants in the project, self-construction is frequent.

« Le groupement de ménages et le partage d’espaces réduisent la consommation d’électricité et l’empreinte écologique, encouragent les échanges sociaux et renforcent la solidarité. Entreprendre la construction d’un habitat groupé évite les frais du promoteur immobilier, réalise un habitat conçu selon les souhaits de ses habitants fondateurs » nous dit Wikipédia. Souvent, les participants au projet créent des espaces communs : buanderie, atelier, chambre d’ami…
« The grouping of households and the sharing of spaces reduce electricity consumption and the ecological footprint, encourage social exchanges and strengthen solidarity. Undertaking the construction of a grouped habitat avoids the costs of the real estate developer, realizes a habitat designed according to the wishes of its founding inhabitants, » Wikipedia tells us. Often, project participants create common spaces: laundry room, workshop, guest room …

L’intérêt pour ces habitats coopératifs est grand, et dans le même temps les maisons minuscules aussi ont beaucoup de succès : au moment où vous me lirez, Séb recevra pour une interview la visite d’une étudiante qui s’est penchée sur les micro-habitats.
The interest in these cooperative habitats is great, and at the same time the tiny houses also have a lot of success: as you read me, Séb will receive for an interview a visit from a student who has studied the micro-habitats.

Il y a quelques temps déjà, la revue « la Décroissance » a publié une critique virulente des tiny houses, « plus particulièrement [de] l’idéologie de l’hypermobilité qui y était attachée » dira le journaliste. Lolo, un de leurs fidèles abonnés, s’est insurgé par courrier contre cette critique, et « la Décroissance » lui a proposé un rendez-vous. Puis a publié l’interview de Lolo — j’aime l’honnêteté de cette démarche.
Some time ago, the magazine « La Décroissance » published a virulent criticism of the tiny houses, « more particularly [of] the ideology of hypermobility which was attached to it » the journalist said. Lolo, one of their loyal subscribers, protested by mail against this criticism, and « La Décroissance » offered him a date. Then published the interview with Lolo – I like the honesty of the process.

Lolo a droit à une pleine page avec photo, où il se dit « pur produit des communautés des années 1970 » racontant brièvement son existence et comment elle l’a conduit à sa démarche actuelle. « J’ai toujours gardé en moi l’idée que c’est bon de partager avec les autres » dit-il. S’il s’est senti « pris dans le courant » de la consommation, il a pris du recul et plus tard « je me suis rendu compte que ça me faisait plaisir de réduire mes besoins ».
Lolo is entitled to a full page with photo, where he describes himself as « a pure product of the communities of the 1970s » briefly recounting his existence and how it led him to his current approach. « I’ve always kept the idea that it’s good to share with others, » he says. If he felt « caught in » the consumption, he took a step back and later « I realized I was happy to reduce my needs. »

C’est bien à cause de ce vécu et de comment ça l’a façonné, à cause de qui il est, qu’on a très vite souhaité l’installation de Lolo quand on s’est connus. Ce ne sont pas seulement ses paroles mais sa façon d’être qui nous ont inspiré confiance. Cela va faire sept mois qu’il habite ici, sans regret pour personne, ni pour lui ni pour nous, bien au contraire.
It was because of this experience and how it shaped him, because of who he is, that we quickly wanted Lolo to settle down when we got to know each other. It’s not just his words, but his way of being that gave us confidence. He’s been living here for seven months, with no regrets for anyone, for him or for us, quite the contrary.

Notre quotidien évolue tout doucement, à mesure que ma rééducation me fait progresser. Paul m’a soutenue tout ce temps où il avait fort à faire pour me dorloter — il a apprécié que cet accident n’ait pas eu lieu en pleine saison de jardinage, il aurait été impossible de tenir tête à tout. Recommencer à faire les fromages, les yaourts, ce sont mes petites victoires et un peu de temps gagné pour que Paul soit plus libre de faire ce qu’il a à faire. Même si je lui demande de porter les accessoires trop lourds. J’ai retrouvé une bonne dextérité, balayer devient un plaisir et préparer une salade de fruits se passe vraiment bien.
Our daily life is changing slowly, as my rehabilitation makes me progress. Paul supported me all the time he had a hard time pampering me – he appreciated that this accident hadn’t happened in the middle of gardening season, it would have been impossible to stand up to everything. Going back to making the cheeses, the yogurts, these are my small victories and a little time saved so that Paul is more free to do what he has to do. Even if I ask him to bring me the accessories that are too heavy. I have regained good dexterity, sweeping becomes fun and making a fruit salad is going really well.

Les périodes de pluie excessive nous ramollissent. Nous cherchons à marcher dès que cela devient possible, en évitant les chemins boueux. Depuis mon accident nous avons fait beaucoup de balades en partant d’ici à pied, mais maintenant nous prenons la voiture pour avoir des départs de balade différents. La viarhona, ce n’est pas trop loin, on peut aller au pont de Groslée, au pont d’Évieu, ou encore plus loin, au barrage, alors ça permet de varier les sorties. Bien sûr nous rêvons de randonnées dans des endroits que nous ne connaîtrions pas ! En attendant, nous nous entretenons et c’est déjà ça !
Periods of excessive rain make us soggy. We seek to walk as soon as possible, avoiding muddy paths. Since my accident we have done a lot of walks starting from here on foot, but now we take the car to have different departure points. The viarhona is not too far, you can go to the Groslée bridge, the Évieu bridge, or even further, to the dam, so that allows you to vary your exits. Of course we dream of hiking in places we would not know! In the meantime, we are maintaining and that’s it already!

La pluie cause un nouveau problème pour les maraîchers : ils sont nombreux à travailler sur les sols fertiles, limoneux, pas loin du Rhône. Le fleuve les inonde rarement, mais les sols gardent l’eau : récolter des légumes devient mission impossible et les producteurs des environs sortent de leur cave des pommes de terre, des oignons ou des courges, mais pas grand-chose d’autre, le choix est vraiment réduit.
The rain is causing a new problem for market gardeners: many of them work on fertile, loamy soils not far from the Rhône. The river rarely floods them, but the soils retain water: harvesting vegetables becomes an impossible task and the producers of the surroundings take out of their cellars potatoes, onions or pumpkins, but not much else, the choice is really reduced.

Jean-Pierre et Chantal avaient disparu du paysage ! On est tout heureux de les revoir, au moins le week-end. Le monde de la musique et de la chanson est en grande souffrance. Pour eux, ça se passe sans trop de souci, mais beaucoup de leurs proches ont des existences bouleversées, vidées, c’est très difficile.
Jean-Pierre and Chantal had disappeared from the landscape! We are very happy to see them again, at least on weekends. The world of music and song is in great pain. For them, it goes without too much worry, but many of their relatives have disrupted, empty lives, it is very difficult.

La musique, ça ne manque pas ici ! Lolo joue régulièrement du trombone à coulisse. Avec Nanath ils vont tous les deux au fond du parc dans la cabane, elle chante et il l’accompagne. Paul s’est remis à l’accordéon. Parfois, nous nous retrouvons à quatre, flûte traversière, guitare, accordéon et chant : je recommence à chanter, on arrive à travailler à quatre sans faire trop de couac. Il faut dire que Lolo a suivi une vraie formation en musique, comme musicien et comme enseignant. J’ai reconstitué mon classeur de chants, j’ai viré ceux que je ne supporte pas, de temps en temps je rajoute un nouveau titre.
Music is not lacking here! Lolo regularly plays the slide trombone. With Nanath they both go to the back of the park in the cabin, she sings and he accompanies her. Paul returned to the accordion. Sometimes there are four of us together, flute, guitar, accordion and vocals: I start singing again, we manage to work in four without making too much noise. It must be said that Lolo followed a real training in music, as a musician and as a teacher. I rebuilt my songbook, I fired the ones I can’t stand, every now and then I add a new song.

Le 6 février, sous un ciel chargé de nuages, il y avait une étrange clarté éblouissante. Les couleurs n’étaient pas naturelles, et la luminosité était bien supérieure à ce qu’elle aurait dû être. Paul en était ébloui ! Le phénomène s’est atténué. Nous avons appris que le foehn avait soufflé depuis le Sahara, laissant tomber sur la neige d’Ariège une poussière d’un brun orangé qui a coloré la neige.
On February 6, under a cloudy sky, there was a strange dazzling light. The colors were unnatural, and the brightness was much higher than it should have been. Paul was dazzled! The phenomenon has abated. We learned that the foehn blew from the Sahara, dropping an orange-brown dust on the Ariège snow that colored the snow.

Un drôle d’oiseau dans le platane, ce matin !
A strange bird in the plane tree this morning!

6 réflexions sur « Et un rien d’utopie »

  1. Lecture plaisir, comme tous les mardis…. Je voulais savoir où tu avais pris la photo avec la barque.
    Ballades que vous devez connaître peut-être :
    à Serrières, la cascade au-dessus du village ;
    au plan d’eau de Serrières, deux circuits dans la zone humide.
    Bonne journée

    • La photo avec la barque, ce doit être sur l’île du Grand Brotteaux, pile en face du méandre du Saugey. On s’était garés au pont D’Évieu, rive gauche, et on avait suivi la digue. J’ai retrouvé ça dans mes archives, je ne crois pas me tromper.
      Je ne crois pas connaître les deux balades que tu indiques, une seule solution, que vous nous y conduisiez un jour !

  2. Bonjour Caly,
    Une fois de plus quel plaisir de voir les photos et de lire des idées sensées sur la situation sanitaire et politique, puisque je suis convaincu que tout est politique : les vaccins, le rôle néfaste des labos, disons plutôt le rôle néfaste des actionnaires qui possèdent les labos, des gouvernants qui font la courte échelle aux actionnaires, etc…L’utopie est nécessaire dans cette situation : il faut mettre hors d’état de nuire les actionnaires qui sévissent dans le domaine de la santé mais aussi dans les autres domaines de l’économie. Leur logique, l’argent d’abord, est mortifère.
    Amitiés.
    Angelo.

    • Bonjour Angelo,
      et merci pour ta participation. Tu as raison, ce sont les actionnaires, et, de façon plus générale, la course SYSTÉMATIQUE au profit qui nous empoisonnent. Et c’est pas nouveau ! Cet argent dont ils ne pourront pas profiter tellement ils en ont, me disait un autre lecteur.
      Il faudrait peut-être un sacré courage pour limiter les fortunes, ça fait partie des urgences…

      Petit problème d’internet : je ne développe pas plus !

  3. Lolo joue du trombone ? ça doit déménager ! (c’est l’instrument le plus puissant de l’orchestre). C’est sympa, faut monter une fanfare au Charbinat !

    Tu es sûre pour le foehn ? En général c’est plutôt le sirocco qui ramène le sable du Sahara (et c’est ce que j’ai entendu du reste).

    Content de voir que tu récupères bien, et au fait le vélo il n’a rien ?
    Seb et Lolo ne gèlent pas trop dans leur micro-résidences ?

    • Oui, Lolo joue du trombone, parfois dans la cabane tout au fond. Si c’est dans la tiny, on entend un peu ! Comme je l’ai dit, on se fait des moments musicaux à quatre (ou moins, toutes les combinaisons étant possibles) et on se fait bien plaisir.
      Fanfare toujours, Lolo avait rejoint celle de Bourgoin, avant le second confinement…
      Je crois bien avoir lu « foehn » sur les sites d’infos, peut-être s’agissait-il du sirocco en effet. Cause problèmes de connexion, je n’irai pas vérifier aujourd’hui.
      Oui, je récupère bien, c’est même surprenant, et si c’était dû peut-être… aux quatre séances de kiné par semaine (dont deux en piscine). Et, non, le vélo n’a rien. Un vélo de courses aurait peut-être explosé comme l’omoplate, mais ce vélo est un peu balourd, il n’y a même pas quelque chose de voilé !
      Séb et Lolo se chauffent bien (petit volume, plus vite chauffé), heureusement !

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